UPR Francois Asselineau
( Dans chaque fin de page il y a des vidéos pour prouver chaque information sur le site. )
NOTRE SITE N'EST PAS POLITIQUE MAIS NOUS AVONS DECIDE DE METTRE EN PAGE LE SITE DE L' UPR DE MONSIEUR ASSELINEAU FRANCOIS , CAR C'EST L'UNIQUE PARTI POLITIQUE QUI EST POUR LA SORTIE DE L'UNION EUROPEENNE AVEC L'ARTICLE 50 ET SORTIR DE LA SOUMISSION DES BANQUES ET DES FINANCIERS. CE QUI LUI VAUT BEAUCOUP DE CENSURES DANS LES MEDIAS.
M ASSELLINEAU FRANCOIS
L’Union Populaire Républicaine
Nouvelle venue dans le débat politique, l’Union Populaire Républicaine (UPR) rassemble des Français, de droite et de gauche, dont les rangs grossissent rapidement. Notre point commun à tous, c’est que nous refusons l’asservissement de la France, et que nous posons la question fondamentale qu’aucun parti ni aucun média ne veut poser : Avons-nous oui ou non intérêt à rester encore dans l’Union européenne ?
En exigeant que ce débat ait lieu, l’UPR ouvre ainsi la voie du vrai changement que tout le monde attend. Allant au fond des choses, nos analyses prouvent que la crise politique, économique, sociale et morale de la société française trouve justement son origine dans cette Union européenne qui nous asphyxie mais dont on nous prétend faussement qu’elle serait irréversible et non sujette à débat. Notre programme en tire la conséquence :
La France doit sortir de l’Union européenne
L’UPR n’est pas un parti de politiciens-caméléons qui multiplient les promesses vagues et contradictoires afin de plaire à tous les publics, juste avant les élections. Les Français en sont écœurés et ils ont raison ! Nos propositions sont très réfléchies, adéquates, précises, et sans ambiguïté. Voilà qui change tout. Elles sont aussi parfaitement applicables, il faut seulement du courage politique pour en décider :
La sortie nécessaire de l’euro.
Il ruine notre pouvoir d’achat, entretient le chômage, plombe nos entreprises, et accélère les délocalisations. Rétablir le franc, c’est évidemment possible, et c’est indispensable !
Article 50
- Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
- L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
- Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
- Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité qualifiée se définit conformément à l’article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. - Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.
Les 20 thématiques du programme politique pour rétablir la démocratie
- Indépendance politique
- Rétablir la démocratie (suite)
- Les Médias
- Une société de liberté (Internet)
- L’égalité des citoyens
- Les banques et la finance (suite)
- L’intérêt général
- La production nationale
- Nationalisations (EDF, Autoroutes, SNCF, …)
- Capital et travailleurs
- Rémunération et logement
- Syndicats et financement
- Santé et sécurité sociale
- L’agriculture et la qualité des aliments
- Les retraites
- L’enseignement et la culture
- Rétablir la grandeur de la France (suite)
- La Francophonie
- Référendums et débats nationaux (politique énergétique, immigration, dette publique)
- Les sujets non abordés (impôts, taxes, fiscalité, emploi, insertion, …)
Conclusion : Une présidence citoyenne
ADHESION UPR EN LIGNE :
https://www.upr.fr/aider/adherer/adhesion-en-ligne