SITUATION ISRAEL-PALESTINE RACONTE PAR UN JEUNE...

TRES BON RESUME...

PALESTINE - GUERRE DE GAZA

 

EN COURS....

CETTE PAGE SERA MIS A JOUR REGULIEREMENT

 

Notre site n'est pas un site politique, mais d'information et dénonciation ! Travail que les médias appartenant aux Grandes Entreprises, Vendeurs d'armes et Politiques ne font pas bien sure !

En regardant juste ces trois images ci dessous... nous devions de faire une rubrique sur la Palestine.

Comment se pays subit un massacre depuis des dizaines d'années sous le regard de tous les autres pays, de l'ONU etc ... sans aucune action de défénse...

 

 

Il n'y a pas plus belle image que cet homme Israëlien portant un enfant Palestinien pour la paix de ces deux peuples !

BRAVO !

N'oublions jamais que les guerres sont faites par des Gouvernements et non pas par la volonté du peuple d'aller se faire tuer au combat.

 

 

QUAND LES PAYS SOIT DISANT DEVELOPPES NE VIENNENT PAS EN AIDE A CE CRIME DE GUERRE ...

LE BOYCOTT EST UNE ARME QUE BDS FRANCE PROPOSE... ET CHACUN A SON NIVEAU PEUT AIDER...

SAVOIR CONSOMMER EST TRES IMPORTANT !

Israël, principal fournisseur d’armes pour les groupuscules armés en Syrie
L’équipe du site  https://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=247256&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1

Pour savoir comment l’entité sioniste œuvre en Syrie, et à quel point elle agit dans ce pays ravagé par la guerre depuis 4 années, ile ne faut surtout pas écouter les propos des officiels ou des medias israéliens qui nous rabattent les oreilles avec leurs allégations d’aide humanitaire pour les blessés dans le sud de la Syrie.

Le rôle d’Israël est beaucoup plus important : en tête, celui de fournir des armes à toutes les milices qui combattent en Syrie, toutes tendances confondues, par le biais d’un  personnage clé: Mendi al-Safadi.

L’ampleur de ce rôle a été révélé grâce à la mine d’informations obtenue par un haker professionnel qui est parvenu à pirater l’ordinateur personnel de Safadi, et diffusées par le journal libanais al-Akbar.


Recruter des agents femmes


Auparavant, ce haker avait réussi à implanter « un espion électronique » de type trojan dans l’ordinateur personnel de l’un des dirigeants de la milice wahhabite takfiriste Daesh (état islamique) en Irak. Il s’est avéré qu’il entretenait des liens avec Safadi, en lui dérivant les détails de la vie en Syrie.

Le nom de Safadi se trouvait aussi dans d’autres données piratées de l’ordinateur d’un autre dirigeant de Daesh le chef religieux pour la wilayat de Raqqa, cheikh Omar al-Hajji (connu sous le pseudonyme Omar Ghouraba). Celui-ci avait dans ses archives une lettre de la part d’un certain cheikh Ahmad qui relayait les renseignements qui lui sont parvenues d’un certain Abdel Ghafour al-Hadiri de la ville d’Alep, sur l’existence d’un réseau de renseignements en Turquie, dirigé par un officier israélien, Moti Cohen. « Le druze israélien Moudi Safadi, est son délégué sécuritaire », selon la lettre.

Ce réseau avait pour mission de recruter des agents, majoritairement des femmes, et de participer à des rencontres secrètes en Turquie et en Jordanie avec la participation d’officiers américains et israéliens.    

Espionnage et trafic d'armes 

Pour ceux qui ne connaissent pas Moudi Safadi, il est bon de rappeler qu’il est plutôt druze syrien, originaire de la ville Majdal Chams dans le Golan syrien occupé.

Israélien de nationalité,  (parfaitement consentant à tel point qu’il a changé son  prénom arabe Mouzer), il est le directeur du bureau du Premier ministre israélien, travaille dans le département de la Technologie des informations et des services ainsi que dans la Knesset.

Il a été chargé officiellement par le gouvernement de Netanyahou du dossier des relations avec les groupuscules armés œuvrant en Syrie..

Mis à part son activisme politique et d’intelligence, il travaille dans le commerce des armes et possède de nombreuses sociétés commerciales dans plusieurs pays du monde.

Il préside l’association « des Druzes pour Israël » et fait partie des amis très proches de l’extrémiste fanatique israélien Baruch Marzel qui commémore chaque année le massacre perpétré dans la mosquée d’Ibrahim à al-Khalil Hébron contre 29 fidèles palestiniens en 1994.


Ses archives piratées qui comptent des documents, et des messageries reflètent l’effort immense qu’il déploie dans le dossier syrien, à plusieurs niveaux, sécuritaires, politiques, médiatiques…


Daesh, Nosra, Syriens, Libanais, saoudiens, turcs...

Il entretient de bonnes relations avec de nombreuses personnalités syriennes, civiles ou militaires qui vivent en Syrie, au Liban ou ailleurs ainsi qu’avec des hommes politiques libanais et des Libanais vivant à l’étranger. Il s’entretient souvent avec eux via skype ou viber.

Il connait même des dirigeants de la branche d’Al-Qaïda en Syrie, le front al-Nosra et de la milice wahhabite takfiriste Daesh (Etat islamique).


Mais une activité principale ressort de ses archives : celle de fournir des armes à toutes les milices qui œuvrent sur le sol syrien toutes tendances confondues, et d’être liées d’une façon ou d’une autre  à toutes les autres transactions d’armements qui sont conclues.

L’un de ses documents est une transaction d’armements qu’Israël a tenté de conclure dans la capitale tchèque pour le compte des milices Front islamique (la coalition qui comptait comme colonne vertébrale la milice pro saoudienne Jaïch al-Islam dirigée par Zahrane Allouche) , Ajnad al-Cham (proche d’Al-Qaïda) et le front al-Nosra. Il est mentionné dans ce document que ce dernier a refusé de conclure cette transaction en dehors du sol syrien, et insisté pour qu’elle se passe via les conseils militaires pour mieux contrôler le prix.

Une messagerie révèle un accord entre une partie israélienne et une autre syrienne pour la conclure via la frontière syro-jordanienne. Alors que Safadi insiste pour que les négociations sur les détails aient lieu à Prague où se trouve le siège de l’une de ses sociétés.

Les dossiers de Safadi montrent que le financement des groupuscules syriens armés provient du Qatar et des donateurs saoudiens. Quant à la liaison entre le Nosra et le Qatar, elle se fait via un certain Mohammad al-Khatib, connu sous le pseudonyme Clinton, et avec lequel il entretient des liens très étroits.

Dans les données enregistrées sur le Viber de Safadi, figure un autre syrien, Oussama al-Hurr (le libre) lequel négocie aussi avec les israéliens des transactions d’armes, au nord de la Syrie. Il est également question d’une dame, Oum Abad qui est particulièrement active dans ces affaires.

D’après ces informations, il existe aussi des commerçants gouvernementaux qui fournissent, en plus des armes acheminées des camps de formation (non identifiés),  des passeports européens pour faciliter les déplacements et le transport des armes.

Dans ses documents, on constate qu’il parfaitement au courant des pourparlers entre des parties jordaniennes et d’autres saoudiennes pour conclure des transactions d’armes pour la Syrie.

L’un des documents rend compte d’une transaction d’armements américains pour le compte d’un groupuscule armé, comprenant entre autre des commandes de missiles TOW, d’anti aériens et d’anti char de type stinger , des jumelles de nuit thermiques, et que Safadi a promis de procurer d’Israël.

Dans un entretien via Skype avec un agent au sobriquet Joundallah, une allusion est faite à un certain Yasin Sanverdi, chargé de transactions d’armements entre Israël et des groupuscules armés syriens.

Dans un autre entretien avec un certain Ahmad Ferzat , celui-ci lui assure avoir des armements de qualité made in USA . Et lorsque Safadi lui demande s’il est possible d’en fournir à Daesh, il lui répond que « Daesh est prêt pour en acheter».

Directement après, Safadi contacte un certain Yushi Copervacer pour lui dire qu’il avait fixé un rendez-vous avec le syrien Adnan Sello.

 

Intervention directe

On constate d’après les données fournies par l’ordinateur de Safadi que certaines de ses activités relèvent de l'intervention israélienne directe dans les évènements syriens.

Ses documents comptent un brouillon sur « la création d’une armée pour renverser le régime syrien ». 

De plus, il s’intéresse particulièrement à l’une des milices de l’Armé syrienne libre (ASL),  Brigade al-Fourqane. Celle-ci «  contrôle des passages clandestins à proximité de la citadelle Jandal sur le versant de la montage al-Seikh (Mont Haramon) , pour le compte d’Israël », selon les écrits de Safadi.

Dans l’une de ses messageries, il met au courant l’un de ses agents dans un groupuscule armé que les forces de la coalition ont bombardé un siège de la milice « al-Mouetazz bi-llah », et dont la localisation s’est faite grâce à l’implantation d’une puce électronique dans des marchandises qui lui ont été envoyées à travers un commerçant.

On découvre aussi que des délégués israéliens se trouvent dans la ville de Deraa au sud de la Syrie ainsi que sur le sol jordanien.

 

Liaison amoureuse  


Et pour clore le tout, la cerise sur le gateau: les dossiers de Safadi  dévoilent sa relation amoureuse avec une opposante syrienne, qui avait été candidate à la présidence de la Coalition de l’opposition syrienne.

Mis à part les propos amoureux qu'ils s'échangeaint, elle lui faisait part entre autre des conflits qui éclataient entre les membres de l’opposition, et les duperies  qu’ils se dressaient les uns contre les autres.  

 

Lobbying – Israël réclame et obtient la censure d’une chanson du prochain concours de l’Eurovision

Lobbying – Israël réclame et obtient la censure d’une chanson du prochain concours de l’Eurovision

Bien que ne faisant en aucune manière partie de l’Europe et encore moins de l’Union Européenne, ni géographiquement, ni économiquement, Israël a réclamé et obtenu le caviardage et la censure partielle des paroles d’une chanson retenue par la Hongrie pour le prochain concours de l’Eurovision.

En effet, la chanteuse du groupe hongrois interprétant Wars for nothing (des Guerres pour rien) revenait sur l’opération Bordure protectrice contre le Hamas l’été dernier. Les paroles de la chanson expliquent notamment : «2014. Gaza. Les deux tiers des victimes étaient des civils, dont plus de 500 enfants». Ce qui est la pure vérité :

Le motif invoqué par l’entité sioniste et accordé par les hauts fonctionnaires en lien avec l’Eurovision pour censurer cette chanson est pour le moins piquant, quand on sait que l’Eurovision est un instrument politique au service du Nouvel Ordre Mondial, puisque les censeurs ont invoqué l’obligation pour les chanteurs de ne pas porter de message politique !

Quand on se souvient du travesti Conchita Wurst en pleines campagnes pour les lois LGBT, il y a quoi mourir de rire !

Mais celles et ceux qui auront le courage ou la folie d’écouter le prochain concours de l’Eurovision ne devrait ni mourir sous les balles de bordures protectrices, ni mourir de rire… mais bel et bien mourir d’ennui.

Une raison supplémentaire pour éviter ce moment télévisuel manipulé, manipulatoire, soporifique et en un terme pathétique.

 

 

 

 

Des soldats israéliens s'élèvent contre les injustices faites aux Palestiniens

Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le
 

image: https://static.lexpress.fr/medias_9714/w_640,h_358,c_fill,g_center/v1405935443/soldats-israel_4973931.jpg

Des soldats israéliens lors des funérailles à Holon, près de Tel Aviv en juillet dernier.

Des soldats israéliens lors des funérailles à Holon, près de Tel Aviv en juillet dernier.

REUTERS

Une quarantaine de soldats de réserve de la plus prestigieuse unité de renseignement militaire israélien ont décidé de ne plus en endosser l'uniforme pour ne plus avoir à participer aux injustices commises selon eux contre les Palestiniens

C'est l'une des plus importantes expressions d'objection de conscience depuis des années en Israël. "Nous, anciens de l'unité 8200, réservistes mobilisés ou mobilisables, déclarons que nous refusons de prendre part à des actions contre les Palestiniens et de continuer à être instrumentalisés pour renforcer le contrôle militaire sur les Palestiniens dans les territoires occupés", écrivent 43 officiers et soldats signataires d'une lettre adressée au Premier ministre et au chef d'état-major israéliens. 

"Nous ne pouvons plus continuer à servir ce système et à dénier leurs droits à des millions de personnes tout en gardant bonne conscience", disent les signataires. Publiée moins de trois semaines après la guerre dans la bande de Gaza, la lettre est sans lien avec elle. Mais elle est un pamphlet contre la politique globale du "régime" et les pratiques du Renseignement mises au service de cette politique. 

La charge de la NSA israélienne

Dans ce courrier, il est question de mise sous surveillance de millions de Palestiniens sans distinction, jusque dans leur vie privée. Ces refuzniks (terme désignant des Israéliens refusant de servir) dénoncent "la persécution politique" à laquelle participe leur activité d'espionnage; des tribunaux militaires rendant leurs jugements sans que les Palestiniens aient accès aux preuves rassemblées contre eux et des agissements montant les Palestiniens les uns contre les autres. 

Ils s'en prennent plus largement à la règle militaire sous laquelle des millions de Palestiniens vivent depuis plus de 47 ans ainsi qu'à la colonisation et à l'hypocrisie d'une politique invoquant les nécessités de sécurité pour se justifier. L'armée a nié la réalité de ces accusations et a affirmé dans un communiqué ne "pas avoir d'informations selon lesquelles des violations spécifiques mentionnées dans cette lettre ont eu lieu". 

Ce "manifeste des 43" émane d'une unité qui, par la force des choses, sort rarement de l'ombre. L'unité 8200 est un service d'élite du renseignement militaire. Spécialisée dans la cyberdéfense, chargée des écoutes, elle est souvent comparée à la NSA (National Security Agency) américaine

Dans un pays où l'armée joue un rôle prééminent et où l'opinion a très majoritairement soutenu la récente guerre à Gaza, la dernière manifestation marquante d'objection de conscience remonte à 2003, lors de la seconde Intifada. Vingt-sept pilotes de l'armée de l'air avaient refusé de mener des opérations de liquidation dans les Territoires palestiniens. 


Read more at https://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/des-soldats-israeliens-s-elevent-contre-les-injustices-faites-aux-palestiniens_1575488.html#rRA3orvZTHG6SKCk.99

 

 

 

150 000 juifs protestent à New York contre Israël et pas une ligne dans les journaux et TV

Il dévoile la vérité sur l’armée israélienne : une organisation terroriste !
posté le 5 août 2014 par Halalbook dans Buzz

Fils d’un général israélien, Miko Peled nous explique pourquoi l’armée israélienne est en fait une véritable organisation terroriste.
Cet extrait provient d’un discours prononcé en 2012 à l’occasion de la promotion de son livre «  Le fils du général : le voyage d’un Israélien en Palestine  » qui a pu voir le jour grâce à l’accès aux archives de l’entité sioniste qu’il a pu obtenir !

ISRAEL : COMMENT LE DROIT DES FEMMES EST BAFOUE !

LES DROITS DE L'HOMME TOUT SIMPLEMENT....

ISRAEL : QUAND DES FEMMES ISRAELIENNES RENCONTRE UNE FEMME PALESTINIENNE AU BORD D'UN LAC....

Citations des principales personnalités historiques sionistes, exprimant sans masque, leur programme de génocide des palestiniens

Publié par wikistrike.com sur 20 Juillet 2015, 13:18pm

Catégories : #Politique internationale

Citations des principales personnalités historiques sionistes, exprimant sans masque, leur programme de génocide des palestiniens

Photo: Déclaration d’Indépendance de l’Etat d’Israël

————————————————

« Nous devons expulser les arabes et prendre leur place »
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël

« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves »
Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987

« Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population arabe »
Israël Koenig, « The Koenig memorandum »

« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu »
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973

« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »
Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans

« A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée »
Commentaire de l’essayiste hébreu Achad Ha-Am, après avoir visité la Palestine en 1891

« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre »
Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969

« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont jamais existé »
Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969

« Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs »
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988

« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes »
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989

« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection »
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895

Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du plan Dalet. « Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias

« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … »
Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000

« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes »
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982

« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une autre galaxie »
Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001

« Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront »
David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948

« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille »
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983

« La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre »
Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972

« C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation de leurs terres »
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972

« La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien »
Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel

« Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe »
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969

« … si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre … sinon »
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297

« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation »
Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923

« La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone. C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard des arabes »
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923

« Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers les pays voisins – tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem »

« Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires »
Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien
« Hotam », du 24 novembre 1989

« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la violence »
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish problem)

« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ? »
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.

« Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël … La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens viennent ramper devant nous »


Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983

« Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision »
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin 1967

« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela … Je vais vous dire quelque chose de très clair : Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique, et les américains le savent »
Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael

« Parmi les phénomène politiques les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres »
Albert Einstein. Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.

« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate »
Ben Gurion

« Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une diaspora »
Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.

« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler plutôt que de nous »
Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958

« Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne »
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la guerre de 1967. Palestine, vol. 12, décembre 1983

« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » »
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York times, 23 octobre 1979.

Béatrice Doinette

 

10 vérités sur le conflit israélo-palestinien

SOURCE / https://blogs.mediapart.fr/blog/anas-jaballah/240714/10-verites-sur-le-conflit-israelo-palestinien-1

 

Depuis le début de l’offensive israélienne contre Gaza, indûment appelée « Bordure protectrice », les amalgames, les raccourcis et les contre-vérités se sont accumulés. Ni le traitement médiatique ni l’analyse politique n’ont permis de clarifier les événements ou d’élever le débat. Un bref rappel de quelques vérités s’avère donc nécessaire pour prendre la mesure de la gravité des événements en cours.

 

1.    Le conflit israélo-palestinien oppose des camps sans commune mesure 

Le conflit israélo-palestinien n’est pas une guerre entre deux puissances comparables. Il s’agit en réalité d’une puissance coloniale, Israël, qui réprime des indigènes, les Palestiniens. On retrouve en effet toutes les caractéristiques du joug colonial avec la colonisation des territoires, le blocus, la disproportion des puissances militaires, la répression indifférenciée des résistances armées et des cibles civiles (femmes, enfants, journalistes, écoles, hôpitaux). La disproportion en termes de puissance économique et médiatique est également patente et parachève l’asymétrie totale de ce conflit qui dure maintenant depuis plus de 60 ans avec la complicité ou l’indifférence à peine voilée de la communauté internationale. En effet, l’Etat d’Israël contrevient régulièrement au droit international et aux droits de l’homme. En 2008 et 2009, l’opération « Plomb Durci » menée par Israël avait ainsi tué près de 1400 Palestiniens dont 758 civils et 13 Israéliens dont la plupart militaires. Le rapport Goldstone commandé par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU avait alors fait état d’actes pouvant constituer des crimes de guerre, voire des crimes contre l’humanité. Le déni de cette réalité dérangeante par une partie de la communauté internationale, notamment les Etats-Unis, et les pressions exercées sur les auteurs de ce rapport ont eu raison de sa valeur pédagogique. Aujourd’hui, avec l’opération « Bordure Protectrice », nous en sommes à plus de la moitié du nombre de tués lors de l’opération « Plomb Durci » : plus de 700 Palestiniens tués dont l’immense majorité sont des enfants, des femmes et des civils contre 34 côté israélien dont 32 soldats. Ainsi, si l’on fait le bilan de ces deux opérations israéliennes, on arrive à 2100 tués côté Palestiniens dont la plupart sont des civils, contre 47 côté israéliens dont la plupart sont des soldats. Ces faits incontestables sont la parfaite illustration d’une guerre coloniale totalement asymétrique qui devrait justifier un traitement politique et médiatique différenciée entre des forces coloniales et des résistances anticoloniales.

 

2.    Les « pro-palestiniens » ne sont pas pro-palestiniens

Les médias ont l’habitude de qualifier les manifestants opposés à la politique israélienne de « pro-palestiniens ». Cet usage est impropre car l’engagement de la plupart des manifestants n’est pas identitaire mais bien politique. Ils n’apportent pas un soutien inconditionnel aux Palestiniens mais s’opposent à une politique, celle de l’actuel gouvernement israélien, et portent des revendications précises : un cessez-le-feu immédiat, un retrait des territoires occupés et la fin du blocus contre la bande de Gaza. Ce glissement linguistique – délibéré ou non – conduit malheureusement à conforter l’idée d’un conflit identitaire ou religieux alors qu’il s’agit bien d’un conflit et d’un débat politiques.

 

3.    Les opposants à la politique coloniale d’Israël ne sont pas tous musulmans, arabes ou banlieusards

Autre écueil récurrent, les opposants à la politique coloniale d’Israël sont souvent confondus avec la communauté musulmane, la communauté arabe ou  maghrébine et les jeunes de banlieue. Il s’agit là d’une contre-vérité que chaque manifestation dément puisqu’on y trouve rassemblés des gens de toutes confessions et de toutes origines ethniques, sociales ou géographiques. Cette diversité se retrouve également dans les organisations qui appellent aux manifestations.

 

4.    Les juifs ne sont pas tous favorables à la politique coloniale d’Israël

Si tous les opposants à la politique israélienne ne sont pas musulmans, il faut aussi rappeler que tous les juifs ne sont pas sionistes ou favorables au gouvernement israélien. D’ailleurs, parmi les intellectuels (Stéphane Hessel, Alain Gresh, Rony Brauman) et militants engagés (Michel Sibony, Olivia Zemor) pour une paix juste entre Israël et la Palestine, beaucoup sont de confession ou d’origine juive. Leur identité juive n’est pas remise en cause par cet engagement politique quoiqu’en pensent certains extrémistes juifs (la LDJ et le Betar notamment) qui invectivent ces personnalités en les qualifiant de « traîtres à leur communauté ».

 

5.    Les manifestants ne sont pas des délinquants

Ces dernières semaines, la couverture médiatique des manifestations donne à voir à l’opinion publique des hordes de délinquants saccageant les rues. Cette vision donne une image totalement faussée de la réalité. En effet, plusieurs dizaines de manifestations ont été organisées en France depuis le début de l’opération militaire d’Israël et seules trois ont conduit à des débordements : une à la suite de provocations de la LDJ et deux qui n’avaient pas reçu d’autorisation et qui se sont donc déroulées sans service d’ordre et sans encadrement des forces de l’ordre.

Pour l’essentiel, les manifestants défilent donc dans la dignité et le respect de la loi malgré la colère légitime qui les animent. Ces manifestants agissent en citoyens libres et exemplaires qui usent de leur droit à manifester et répondent à leur devoir de citoyens de s’indigner face à l’injustice et la cruauté. Ils sont la conscience et l’honneur d’une France dont les institutions (le gouvernement, la justice et les forces de l’ordre) sont entièrement mobilisées pour empêcher toute une partie des citoyens de s’exprimer.

 

6.    Parmi les manifestants, il existe une minorité violente et irresponsable

Si l’essentiel des manifestants sont des citoyens responsables et engagés, les manifestations ont néanmoins été troublées par une minorité d’individus venus pour donner libre cours à leur violence et à leur stupidité. La plupart sont des jeunes désœuvrés qui trouvent dans les manifestations une scène pour exister, quitte à verser dans un antisémitisme provocateur et de façade qui ne repose sur aucune base idéologique.

Autre phénomène regrettable, on trouve dans les cortèges des personnes qui donnent une tonalité religieuse à un mouvement qui gagnerait à rester politique. En scandant des slogans – d’ailleurs inoffensifs malgré la crainte qu’ils inspirent – comme « Allah Akbar » (« Dieu est Grand »), ces personnes transforment un engagement politique, par nature inclusif, à un engagement religieux, par nature exclusif. Cela est le fait regrettable d’une minorité qui n’a pas toujours conscience de son impact.

 

7.    La LDJ n’est pas une association, c’est un groupuscule extrémiste et violent

La Ligue de Défense Juive (LDJ), impliquée dans les principaux troubles qui ont émaillé les manifestations à Sarcelles et à la rue de la Roquette près de Bastille, est un groupe sans existence légale mais qui semble vivre au-dessus des lois. N’hésitant pas à se réunir et à manifester violemment sans autorisation préfectorale préalable, aucun de ses membres n’a été arrêté par les forces de l’ordre ou condamné. Or, cette organisation n’en est pas à son coup d’essai : un commissaire de police poignardé à l’abdomen en marge d’une manifestation du CRIF en 2002, attaque de militants associatifs dans un tribunal en 2003, coups et blessures sur deux lycéens refusant leurs tracts en 2009, attaque d’un cinéma parisien en 2011 et multiples menaces à l’encontre d’intellectuels engagés pour une paix juste au Proche-Orient comme Stéphane Hessel. A ces délits s’ajoutent des appels à la haine et une islamophobie exprimés sans vergogne sur internet, les réseaux sociaux ou même sur les vidéos filmées rue de la Roquette. Tandis que les Etats-Unis ont classé la Jewish Defense League comme organisation terroriste et qu’Israël a interdit les activités de cette milice, la réaction de la France se fait toujours attendre. Les autorités françaises, qui n’ont pas hésité par le passé à interdire des groupuscules identitaires comme Forsane Alizza en 2012 ou la Tribu Ka en 2006, continuent à fermer les yeux sur les agissements de la LDJ, préférant ôter à des citoyens leur droit de manifester plutôt que placer hors d’état de nuire une milice violente et illégale. Il serait bon que notre Premier Ministre, qui a montré en tant que ministre de l’Intérieur une détermination féroce face aux appels à la haine et à la violence, fasse aujourd’hui le nécessaire concernant la LDJ. Sauf à assumer qu’un extrémisme vaut mieux qu’un autre.

 

8.    En interdisant les manifestations, la France plie face à la LDJ

En interdisant les manifestations d’opposition à l’opération israélienne, le gouvernement français est trois fois coupable. D’abord, il augmente de fait les risques de débordement en empêchant la présence de services d’ordre qui sont interdits pour des manifestations non autorisées. Il prive ensuite des citoyens de leur droit élémentaire de manifester et de s’exprimer sous prétexte que des débordements pourraient survenir entre une frange minoritaire des manifestants et des groupuscules violents comme la LDJ. Il souille enfin les valeurs universelles et humanistes de la France comme l’a fait en son temps un autre gouvernement socialiste, celui de Guy Mollet (voir la tribune d’Edwy Plenel). Ce déni de réalité et de justice est évident et il suffit de reprendre les déclarations de Manuel Valls pour s’en rendre compte. Celui qui interdit aujourd’hui des manifestations sous de faux prétextes, déclarait encore en 2008 au sujet du peuple palestinien : « On veut détruire les infrastructures, la mémoire, le futur de ce peuple. Cela est inacceptable et nécessite la mobilisation de toute la communauté internationale... ». Quel chemin parcouru depuis pour l’élu d’Evry, devenu Premier Ministre !

 

9.    Le Président de la République commet une faute grave en considérant le conflit israélo-palestinien comme un conflit religieux

En réunissant les représentants (d’ailleurs pas très représentatifs…) des différentes communautés religieuses pour apaiser le climat en France concernant le conflit israélo-palestinien, François Hollande commet une faute grave. Confondant volontairement ou non un sujet politique, en l’occurrence la politique israélienne, avec un conflit religieux, en l’occurrence entre Juifs et Musulmans, François Hollande renforce l’idée fausse d’un antisémitisme musulman et l’idée tout aussi fausse d’un soutien juif monolithique à la politique israélienne. Cette confusion stupide, indigne et dangereuse, est de nature à renforcer les amalgames et les crispations identitaires en France alors même que le Président prétend les combattre. Si le Président de la République est coupable, que dire alors de ces représentants religieux qui n’ont pas résisté à l’appel de l’Elysée sans s’interroger sur ses conséquences, notamment pour la communauté musulmane. Plutôt que demander à ces représentants de se mêler de ce conflit politique, le Président aurait été bien inspiré d’exiger au contraire qu’ils ne s’en mêlent surtout pas. Car « importer le conflit israélo-palestinien » consiste précisément à en faire un conflit entre deux communautés de Français en créant une confusion entre conflit politique et conflit religieux. Confusion largement confortée par les représentants religieux qui jouent ce jeu et par des institutions comme le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) qui ne perdent pas une occasion pour apporter leur soutien à la politique israélienne ou pour faire pression sur ses opposants, allant jusqu’à lancer et appuyer une pétition internationale pour abroger le rapport Goldstone.

 

10.  Au-delà du gouvernement, c’est toute la classe politique française qui est indigne

Si la gestion gouvernementale du conflit en cours et de ses réactions en France est proprement calamiteuse, les réactions à droite de l’échiquier politique ne sont guère meilleures. Réagissant aux manifestations, le député UMP Thierry Mariani, sans avoir le moindre mot sur le conflit lui-même et ses nombreuses victimes civiles, a ainsi déclaré qu’on avait en France « de plus en plus de problèmes avec une communauté qui est issue d’une religion qui, par moments, pose des problèmes d’intégration ». Prononcée à l’Assemblée Nationale, institution censée représenter l’unité nationale, cette phrase stigmatisante passe malheureusement inaperçue dans un contexte politique où les principes et les valeurs n’ont plus beaucoup d’importance. En témoigne encore la décision française de livrer deux navires militaires à la Russie en plein conflit ouvert avec l’Ukraine. Mis face à sa contradiction par le gouvernement britannique, Laurent Fabius n’a rien trouvé de mieux que de justifier cette realpolitik cynique en expliquant que les Britanniques n’étaient pas plus vertueux, eux qui accueillent sur leurs places boursières les milliards des oligarques russes.

Ainsi, le citoyen français est rassuré : notre classe politique n’est pas la seule à être cynique. Alors qu’il affirmait en 2012 sa volonté de « réenchanter le rêve français », François Hollande s’applique aujourd’hui surtout à noircir encore le cauchemar de notre classe politique, qui, à de rares exceptions près, a décidément perdu son humanité et le sens de ses responsabilités.

 

origine du conflit israelo palestinien(historique)

SOURCE : https://mondereel.centerblog.net/2283911-origine-du-conflit-israelo-palestinienhistorique

 

1.Historique :

- 3000 ans av.jc le territoire désigné aujourd’hui Palestine est habité par les cananéens tribut arabe venant du sud de la presque île ( tribut de la quelle est issu la majorité de la population arabe actuel du Chame) fondateur de la célèbre ville Ourusalim rebaptisé Jérusalem.

- 1900 ans av.jc émigration du patriarche Abraham de Babylone (IRAK) vers la terre de palestine.

- 1700ans.jc émigration de Jacob surnommé Israël de la Palestine vers l’Egypt

- 1100ans.jc naissance de Hébreux entre les enfants d’Israël conduis par Moïse au Sinaï.

- 1000ans av.j création d’un état hébreux sous le règne de David et Salmon rapidement divisé puis qui chute en -609 après l’invasion de la puissance babylonienne et la communauté juive subit la première déportation.

- Le premier siècle, naît jésus, un juif donne la vie au christianisme.

- 137 2éme déportation des juifs sous les mains des romains chrétiens.
- 636 les musulmans conquièrent la Palestine qui sera islamisé et la population musulmane devient majorité.

- 1917 la grande Bretagne a le mandat sur la Palestine.

-1948 la proclamation de l’Etat d’Israël.

* Analyse logique :

a. Historiquement les cananéens sont les habitants originaires de la terre.

b. Le règne juif n’a duré que 338ans une période totalement inférieur à celle des musulmans (plus de 13s).

c. les musulmans n’ont jamais colonisé la Palestine mais ce sont les palestinien eux même qui se sont islamisés après la conquête musulmane Sur leur terre.

d. Le peuple juifs de sa nature est un peuple instable et émigrant ce que fait de lui un peuple portant un même dogme mais de plusieurs identité ou nationalités.

e. Il n’y a aucune preuve logique qui peut lier les juifs d’aujourd’hui aux enfants d’israel au contraire et selon des études de quelques historiens juifs même ( comme le célèbre Archer Koestler dans son Livre « la 13éme tribut ») plus de 88 % des juifs sont originaires de la population de l’ouest de l’Asie judaïsés après les différentes déportations des juifs.

USA ET ISRAEL

L’AMERIQUE VAINCUE, par le Dr Lasha Darkmoon

1re partie : L’Amérique, une colonie israélienne

Traduit par Bocage

(America Vanquished, by Dr Lasha Darkmoon : Part 1)

« Nous, les juifs, contrôlons l’Amérique et les Américains le savent. » — Ariel Sharon, premier ministre, 3 octobre 2001.

 

Cet article vient de paraître sur rense.com ainsi que sur un certain nombre d’autres sites SANS que l’auteur en ait été avisée et SANS son autorisation préalable. Le Dr Darkmoon n’a pas soumis cet article à aucun de ces sites. Un autre s’en est chargé — visiblement un ami qui me voulait du bien ! Voici la version personnelle de l’auteur, complète avec images et liens intégrés, que nous proposons à nos lecteurs et que les autres sites sont invités à reproduire s’ils le souhaitent. — John Scott Montecristo, rédacteur en chef.

« Je me moque de savoir si les Américains pensent que nous dirigeons les médias d’information, Hollywood, Wall Street ou le gouvernement », écrivait le chroniqueur juif Joel Stein dans le Los Angeles Times en décembre 2008. « Ce qui m’importe c’est que nous continuions à les diriger. »

La candeur insouciante de Mr Stein à reconnaître que les juifs dirigent l’Amérique allait lui coûter son poste au LA Times.

Si les Américains ont abandonné leur pays aux mains des organisations juives, ils l’ont fait lentement et imperceptiblement. En réalité, la plupart des Américains n’ont toujours pas conscience que leur pays ne leur appartient plus. Ils croient fermement qu’ils vivent encore en démocratie. Cette prise de contrôle n’est toutefois pas sans précédent. Elle a eu lieu en Allemagne. Elle a eu lieu en Russie. Elle a lieu aujourd’hui en Amérique.

Prenez l’Allemagne et la Russie.

L’Allemagne, qui n’est plus que l’ombre de ce qu’elle aurait pu être ; c’est aujourd’hui une nation vaincue et démoralisée, complètement sous la coupe des juifs et terrorisée par leurs maîtres en Israël. Sans aller trop loin, on pourrait dire que l’Allemagne est devenue la vache à lait d’Israël.

Il n’y a rien de particulièrement discutable dans cette remarque. Elle a été faite par Eustace Mullins il y a plus de vingt ans :

Pour financer l’Etat d’Israël, dont la création a été le résultat direct de la victoire des juifs sur les nations chrétiennes dans la Deuxième Guerre mondiale, les juifs (…) ont maintenant imposé des « réparations » colossales au peuple allemand conquis. A cette heure, ils ont extorqué plus de 35 milliards de dollars aux travailleurs allemands, somme qui a été récoltée à la pointe des baïonnettes, non pas des baïonnettes juives mais des baïonnettes de l’armée américaine qui est maintenue comme force d’occupation en Allemagne de l’Ouest depuis près de quatre décennies, uniquement afin de fournir un pouvoir militaire derrière le gouvernement fantoche allemand dont la fonction première est de débourser de l’argent pour l’Etat parasite d’Israël.

En décembre 2009, les Israéliens exigèrent de l’Allemagne encore un milliard d’euros ($1,4 milliard de dollars). Curieusement, les survivants de l’Holocauste semblent augmenter en nombre avec le temps. C’est ce qui poussa la mère de Norman Finkelstein à poser la question cynique suivante après s’être fait escroquer son argent des réparations par les rabbins qui géraient le Fonds de l’Holocauste : « Si tous ceux qui prétendent être des survivants en sont réellement, alors, qui Hitler a-t-il tué ? »

Mullins n’exagère pas quand il dit que les troupes américaines imposées à l’Allemagne après la Deuxième Guerre mondiale étaient en réalité une « force d’occupation » : c’était une armée qui, en outre, agissait au nom, et à la demande, des organisations juives.

C’est le Plan Morgenthau, spécialement conçu par le vindicatif Henry Morgenthau contre le peuple allemand comme punition collective pour les crimes d’Hitler, qui allait faire de l’Allemagne d’après-guerre  « le plus grand camp de concentration du monde ».

Encore en 1991, les chanceliers allemands étaient encore tenus, comme les vassaux asservis sous l’Empire romain, de signer un « acte de soumission » à l’égard de leurs conquérants alliés.

« Le juif Morgenthau veut faire de l’Allemagne « un champ géant de pommes de terre », se lamentait amèrement Goebbels. Il avait raison. Il arrive aux antisémites d’avoir raison.

La Russie, elle aussi, comme l’Allemagne, devait tomber sous la domination juive.

D’après Soljenitsyne dans L’Archipel du Goulag, 66 millions de chrétiens russes furent mis à mort sur les ordres de la Tchéka, ou police secrète russe. Ceux qui concevaient les tortures et donnaient les ordres de violer et tuer les Russes de souche étaient pour la plupart des juifs. La phrase candide de Yuri Slezkine que cite l’historien Leonard Shapiro est trop connue pour être rejetée avec désinvolture : « Toute personne qui avait le malheur de tomber entre les mains de la Tchéka avait toutes les chances de se voir confrontée à, et éventuellement fusillée par un enquêteur juif. »

Sur les 388 membres du nouveau gouvernement révolutionnaire en Russie, seuls seize étaient de vrais Russes. « Mis à part un Nègre », nous dit-on, « les autres étaient des juifs ».

Ces révolutionnaires firent de leur mieux pour cacher leur identité juive en prenant de nouveaux noms. Lénine s’appelait à l’origine Oulianov, pour Trotski c’était Bronstein, un des Zinoviev s’appelait Apfelbaum, l’autre Radomyslsky, Sverdlov était Solomon, Radek était Sobelsohn, Litvonov était Wallach, Kamenev était Rosenfeld, Parvus était Helphand, Martov était Zederbaum, Bohrin était Nathanson. Aucun de ces révolutionnaies juifs n’était prêt à agir sous son vrai nom ni à être identifié comme juif. Sous Staline, le simple fait d’appeler l’attention sur le fait que des fonctionnaires impopulaires étaient juifs, c’était encourir la peine de mort.

Il y a une autre petite information piquante que les historiens de cour préfèrent passer sous silence : un grand nombre de ces juifs qui soutenaient le nouveau gouvernement bolchevique, qui se régalaient à donner des instructions pour torturer et exécuter les chrétiens russes, étaient en fait des juifs qui avaient été expédiés depuis l’East Side de New York. Rien, là, de surprenant. Après tout, l’homme qui avait aidé à financer la Révolution russe depuis sa base à Wall Street – à hauteur de 20 millions de dollars –, c’était le banquier juif américain Jacob Schiff.

Dans un célèbre journal français, L’Illustration, on pouvait lire, dans son édition du 14 septembre 1918 :

Quand on vit en contact avec les fonctionnaires qui sont au service du gouvernement bolchevique, un fait frappant s’impose à l’attention : ce sont tous, ou presque tous, des juifs. Je ne suis nullement antisémite, mais je dois constater ce qui saute aux yeux : partout, à Pétrograd, à Moscou, en province, dans tous les commissariats, dans les bureaux de quartiers, à Smolny, dans les anciens ministères, dans les soviets, je n’ai rencontré que des juifs et encore des juifs.

L’Allemagne… La Russie… L’Amérique. Toutes sont tombées sous l’hégémonie juive. Elles ont eu leur heure au soleil, et puis elles ont eu leur éclipse.

C’est à présent le tour de l’Amérique.

 

Le président George W. Bush et son entourage juif

 

« Une fois que nous aurons pressé tout ce que nous aurons pu des Etats-Unis,  ils pourront se dessécher et aller se faire foutre. » — Le premier ministre Benjamin Netanyahou, 2002. (Largement diffusé, voy. ici.)

Israël, albatros de l’Amérique

Dans la première partie de mon article Goodbye, America, j’avais traité des problèmes auxquels est confrontée aujourd’hui l’Amérique et suggéré que ces derniers sont beaucoup plus graves que ne l’étaient ceux de l’Allemagne nationale-socialiste des années 1930. Des sept problèmes que j’avais énumérés, les quatre les plus insolubles sont les suivants :

(1)     Le fait que l’Etat d’Israël dispose de l’arme nucléaire et son plan Samson, l’un et l’autre n’existant pas et ne représentant donc pas une menace pour la paix avant l’installation de l’Etat sioniste à la suite de la Deuxième Guerre mondiale ;

(2)     La présence de 60 millions de chrétiens sionistes en Amérique qui sont main dans la main avec nos nouveaux Maîtres, qui les aident et les encouragent à violer la loi internationale et à poursuivre le génocide du peuple palestinien ;

(3)     L’existence en Amérique d’un réseau tentaculaire d’organisations juives, telles que l’ADL (Anti-Defamation League) et l’AIPAC (America-Israel Public Affairs Committee), qui maintiennent la totalité du pays en otage ; en particulier, ses politiciens mercenaires dénués de moralité ;

(4)       L’arme mortelle du mulculturalisme, une arme qui ne peut être utilisée contre l’Allemagne ou la Russie mais qui est brandie aujourd’hui avec des effets dévastateurs contre la majorité euro-américaine de l’Amérique. « Les élites mondiales voient dans le monde blanc occidental l’obstacle principal à la mise en place d’un futur gouvernement mondial », phrase qu’aurait prononcée Pat Buchanan dans un discours de 2004 et qui a été largement reprise. « Le multiculturalisme est un outil utilisé par ces élites pour démanteler la civilisation blanche occidentale. »

Vu que les juifs se sont débrouillés pour obtenir le contrôle presque complet de l’Allemagne et de la Russie même avant la création de l’Etat juif en 1948, il doit être certainement évident que leur pouvoir d’action a crû de manière exponentielle avec l’acquisition d’une base militaire au Moyen-Orient, armée jusqu’aux dents avec les ogives nucléaires les plus meurtrières, dont un bon nombre pointées sur les capitales européennes et quelques-unes peut-être sur les Etats-Unis. Il serait insensé de penser qu’un pays qui a tué de sang-froid des Américains dans l’attaque du USS Liberty puisse avoir le moindre scrupule à le faire sur une bien plus grande échelle si jamais l’Amérique devait devenir l’objet de leur haine.

Il est important, au point où nous en sommes, d’examiner les faits cachés qui entourent la fondation de l’Etat d’Israël, ne serait-ce que parce que cela peut nous aider à obtenir une meilleure perspective du problème juif.

Israël a été donné aux juifs à la condition tacite que la plupart d’entre eux iraient vivre là-bas, laissant ainsi le reste du monde judenfrei ou débarrassé des juifs. Mais ils ont renié cette promesse collective – faite implicitement en leur nom par leurs dirigeants de l’époque Theodor Herzl et Chaïm Weizmann – et ils préfèrent aujourd’hui voir Israël comme un deuxième foyer, comme un lieu de refuge si leur situation devenait périlleuse ailleurs.

Le premier président d’Israël, Chaïm Weizmann, écrit dans ses mémoires :

Chaque fois que le nombre de juifs, quel que soit le pays, atteint le point de saturation, ce pays réagit contre eux… [Cette] réaction… ne peut être considérée comme de l’antisémitisme dans le sens ordinaire ou vulgaire du terme ; c’est un événement à la fois social, économique et universel concomitant à l’émigration juive et nous ne pouvons pas nous en affranchir. — Chaïm Weizmann, Trial and Error (1949). Cité dans The Jew Accused, d’Albert S. Lindemann, 1991 (p. 277).

Herzl lui-même était déjà arrivé à la même conclusion bien plus tôt. L’antisémitisme, écrivait-il, est « une réaction compréhensible devant les défauts des juifs ». Et dans son journal il ajoutait : « Je trouve que les antisémites sont parfaitement dans leur droit » (Voyez ici).

Ayant reçu une patrie à la condition tacite d’aller y vivre, les juifs avaient clairement l’obligation de le faire. Sinon l’objet de l’exercice s’effondre. Alors comment se fait-il que 58 % des 14 millions de juifs dans le monde vivent aujourd’hui en Amérique et en Europe et seulement 37 % en Israël ? Il faut certainement se poser la question : pourquoi les Palestiniens ont-ils été chassés de leur propre pays pour laisser la place à un autre peuple qui dans sa majorité choisit de vivre ailleurs ?

 

Une Palestinienne est attaquée par des colons juifs

 

« Rien ici, en Amérique, ne peut se comparer aux horreurs de la Palestine… Les femmes sont violées par les militaires israéliens… Les enfants palestiniens sont aspergés d’essence et on y met le feu pour divertir l’IDF [les forces armées israéliennes]. » — Jonathan Azaziah, Mizrahi juif américain.

Tout le monde, ou presque, pensait, puisque les médias sont entre les mains des juifs, que c’étaient les Nations unies qui avaient créé Israël et que tous étaient ravis lorsque cela s’est produit. C’est faux, et on peut le démontrer. Même le gouvernement – ou 99 % d’entre eux – était farouchement opposé à la fondation d’Israël. Par exemple, l’ancien sous-secrétaire d’Etat Dean Acheson a fait partie de ceux qui ont élevé de sévères protestations contre la reconnaissance de l’Etat juif par l’Amérique, en prédisant que « l’Occident le paierait cher ». En dépit de tous ces pressentiments, les juifs ont obtenu leur Etat.

En réalité [remarques de Alison Weir], lorsque l’Assemblée générale des Nations unies a recommandé la création d’un Etat juif dans une partie de la Palestine, cette recommandation était non-contraignante et n’a jamais été ratifiée par le Conseil de sécurité.

Deuxièmement, l’Assemblée générale n’a adopté cette recommandation seulement une fois que les partisans d’Israël eurent menacé et soudoyé de nombreux pays afin de gagner les deux tiers des voix requis.

Troisièmement, l’administration américaine a appuyé la recommandation pour des raisons électoralistes nationales, et a pris cette position malgré de vives objections de la part du Département d’Etat, de la CIA et du Pentagone.

En dépit de la mince patine de légalité que ses partisans ont soutirée de l’Assemblée générale, Israël est né sans tenir compte de l’opposition des experts américains et des gouvernements du monde entier, qui s’y étaient opposés pour des motifs à la fois pragmatiques et moraux.

(Souligné par moi)

Le fait que les sionistes accapareurs de terres soient aujourd’hui tenus en aussi haute estime en Amérique et ailleurs, et que leurs victimes palestiniennes ne recueillent à chaque occasion que des crachats et du dédain s’explique facilement.

Mis à part les médias de masse aux mains des juifs, qui sont parvenus à rendre séduisant et à donner une lueur teintée de rose à son monstre Frankenstein, la réponse tient en un mot : Holocauste. Les sionistes ont réussi à convaincre le monde qu’ils sont les légataires moraux des victimes de l’Holocauste. En tant que tels, ils restent les Victimes Suprêmes.

Comme Finkelstein, nous sommes en droit d’exprimer notre préoccupation devant l’exploitation bon marché de la souffrance juive. C’est un fait indéniable que l’Holocauste est une industrie importante et qu’il est utilisé comme moyen de chantage moral et comme carte blanche [en français dans le texte] pour des crimes monstrueux.

L’écrivain israélien Ari Shavit l’a fort bien résumé avec ces mots : « Nous pouvons tuer impunément, parce que le musée de l’Holocauste est avec nous. »

L’Ennemi à l’intérieur

On peut affirmer, de manière indiscutable, à l’aide d’une foule de citations, que la présence de juifs en grandes quantités dans un pays donné a toujours entraîné des conséquences catastrophiques pour ce pays. (Voyez les citations de Weizmann et de Herzl ci-dessus). La communauté juive organisée a étendu partout son influence, avec l’internet, les journaux, les magazines et les livres. Hollywood, leur agent de hasbara le plus efficace, répand sa propagande empoisonnée partout dans le monde, en offrant aux masses mal-éduquées ses mensonges et distorsions et sa moralité sexuelle freudienne du laissez-faire [en français dans le texte]. Pendant ce temps-là, l’industrie pornographique, dominée par les juifs, favorise la démoralisation d’un nombre incalculable de millions de gens, en en faisant, même chez les enfants, des dépendants sexuels et conduisant beaucoup de ses victimes au désespoir et au suicide.

Avec le triomphe des juifs vient l’assujettissement et l’asservissement de l’ensemble du monde non juif. Le christianisme devient la première victime, l’unité de la famille la deuxième. L’homosexualité et le féminisme radical deviennent plus agressifs dans leurs attitudes et plus extrémistes dans leurs demandes, ouvrant ainsi une Boîte de Pandore de maux : l’encouragement à la normalisation de la pédophilie, par exemple, et la corruption systématique des enfants par le biais de la promotion de la pornographie juvénile dans les salles de classe.

Nous sommes dans une situation critique. Ce n’a jamais été la Palestine en soi que voulait la communauté juive organisée. La Palestine devait seulement servir de base d’opérations pour la conquête du reste du monde. D’après Israel Shamir :

La Palestine n’est pas le but ultime des juifs : leur but ultime, c’est le monde. La Palestine n’est que l’endroit où doit être implanté le quartier général de l’Etat mondial… Les juifs entendent faire de Jérusalem la capitale suprême du monde et, de son temple reconstruit, le point focal de l’Esprit sur Terre… Le christianisme aura disparu, l’esprit aura abandonné les nations, dans notre partie du monde, et notre démocratie actuelle, aussi douteuse soit-elle, aura été supplantée par un vaste Etat théocratique… Dé-spiritualisés et déracinés, apatrides et seuls, les Maîtres du Monde d’hier [les WASPs] deviendront des esclaves mais sans en avoir le nom Certes, l’univers juif est bon – pour les juifs. Mais pour les autres c’est une malédiction… Aux Etats-Unis, où l’influence juive croît continûment depuis 1968, la vie des gens du peuple ne cesse de se dégrader… Une époque propice pour les juifs ne saurait être une période propice pour le reste de l’humanité… La bénédiction des juifs est une malédiction pour les autres… Les régimes qui sont « bons pour les juifs » sont rarement bons pour quelqu’un d’autre.

Les runes sont assez faciles à lire. De la domination de l’Allemagne et de la Russie, les juifs se sont arrangés pour sauter à la domination de l’Amérique.

Nous voyons à travers un verre sombre, mais ce que nous voyons au travers de cette obscurité croissante, c’est le spectre sinistre d’une dystopie américaine : un pays du Tiers-Monde où il ne fait guère bon vivre pour la majorité euro-américaine en rapide diminution.

Il en coûte au contribuable américain 12 millions de dollars de l’heure simplement pour maintenir les troupes américaines en Afghanistan, un pays que l’Amérique a décidé d’envahir à la suite d’une montagne de mensonges des néoconservateurs. Dans un livre récent Gilad Atzmon fait ce commentaire d’un ton cassant : « Les néocons transforment l’armée américaine en une force d’intervention israélienne. »

Ce qui est incroyable, c’est qu’à ce jour Israël n’a pas envoyé un seul soldat pour contribuer aux guerres de Washington en Irak et en Afghanistan. Et la présence de juifs américains – sans parler de leur héroïsme –  n’a pas non plus été particulièrement remarquée au sein des forces combattantes. Et pourtant ils se battent vaillamment avec leurs plumes, loin du vacarme de la bataille. Ce sont eux qui battent le tambour le plus fort, qui profitent le plus de ces massacres aveugles d’innocents, et qui « font combattre et mourir les autres pour eux. »

Les jours de vin et de roses, c’est fini. Le Rêve américain est mort. Tout comme l’Allemagne et la Russie avant elle, l’Amérique se retrouve vaincue.

 

NOUS SOMMES LES NOUVEAUX MAÎTRES !

« Le but pour lequel nous avons lutté si concrètement pendant trois mille ans est enfin à notre portée … Je peux sans risque vous promettre que notre race prendra sa place légitime dans le monde, avec chaque juif un roi et chaque Gentil un esclave. » — Rabbin Emmanuel Rabbinovitch, discours prononcé lors d’une conférence spéciale des rabbins européens à Budapest, le 12 janvier 1952.

Dirigée par une élite juive et ses sous-fifres ou Shabbat goys, loin des normes du droit international et détestée du monde entier, l’Amérique est aujourd’hui une colonie israélienne en tout point sauf le nom.

___________________________________________________

2e partie :L’Amérique sous domination juive

Traduit par Bocage

AMERICA VANQUISHED, by Dr Lasha Darkmoon : Part 2

 

« Quand le monde regarde l’Amérique, ce qu’il voit c’est une colonie israélienne. »— Paul Craig Roberts.

On s’est emparé de l’Amérique.

Lentement et imperceptiblement, dupés par les mensonges et bercés dans la complaisance, les Américains ont laissé glisser leur pays entre les mains d’une cinquième colonne : celles d’une élite ethnique hostile dont la principale allégeance va à Israël, un pays construit sur des terres volées et engagé dans un génocide systématique.

C’est lui, l’Etat voyou vraisemblablement responsable du plus grand meurtre de masse de l’histoire : la catastrophe du 11-Septembre. Ne serait-ce qu’à partir des preuves scientifiques et de la logique médico-légale, Israël doit être dans cette affaire considéré comme le suspect n° 1, vu son passé ininterrompu de terrorisme et ses violations sans fin du droit international. Un pays capable d’orchestrer un crime aussi spectaculaire et en toute impunité – tout en réussissant d’une certaine manière à faire porter le blâme sur dix-neuf Arabes munis de cutters – est certainement une force dont il faut tenir compte.

Plus de 200 militaires de haut rang, officiers de renseignement et membres des forces de l’ordre, y compris deux généraux, contestent aujourd’hui le rapport de la Commission sur le 11-Septembre. Ils ont été rejoints par plus de 1 500 architectes et ingénieurs de haut niveau, 250 pilotes et spécialistes de l’aviation, 400 professeurs d’université et 250 survivants et leurs familles. David Ray Griffin, auteur de onze livres sur le 11-Septembre et professeur émérite distingué, a conclu de façon absolue : « Il semble que tous les éléments avancés pour prouver que l’Amérique a été attaquée par des musulmans le 11 septembre aient été fabriqués. »

Le Dr Alan Sabrosky, ancien directeur du Army War College, a mis la barre plus haut et identifié clairement Israël comme le coupable. « Il faut nous lever et déclarer que non seulement ils [les Israéliens] ont attaqué le USS Liberty, mais qu’il est 100 % certain que le 11-Septembre a été l’œuvre du Mossad. »

Toutefois, s’il fallait une preuve supplémentaire de l’abject asservissement de l’Amérique aux intérêts sionistes, ce serait l’humiliation d’Obama de la part du premier ministre israélien Benjamin Netanyahou au début de l’année. Cette humiliation s’est produite à trois occasions diverses : en septembre 2009, en juillet 2010 et encore récemment en mai dernier. Le chroniqueur du Washington Post, Dana Milbank, écrit presque avec jubilation d’Obama qu’il bat « le pavillon blanc de la reddition » à la Maison-Blanche – où il se tenait assis, « dérouté et humilié ».

Quel était le crime d’Obama ?

Il avait demandé aux Israéliens de respecter le droit international et de stopper la construction de colonies sur les terres palestiniennes. Il les avait suppliés de revenir aux frontières de 1967, conformément à la résolution 242 des Nations unies – ce qui était une demande plutôt raisonnable que tous les présidents américains qui l’avaient précédé avaient demandé aux Israéliens d’envisager dans l’intérêt de la paix.

Quelle fut la réponse du premier ministre israélien ? — « Israël ne retournera PAS aux frontières indéfendables de 1967 ! »

Alors comment se fait-il que cet « allié » grossier et récalcitrant de l’Amérique continue encore à recevoir ses 3 milliards de dollars de subvention chaque année ? L’Amérique est-elle à ce point folle d’amour pour l’Etat juif qu’elle ne soit pas capable de dire « Non » ? La question est idiote. Puisqu’elle repose sur l’hypothèse de Chomsky selon laquelle l’Amérique est toujours le seigneur et maître et le petit Israël la colonie qui en dépend.

Le mystère est facilement résolu si l’on inverse l’hypothèse de Chomsky : la communauté juive organisée, qui s’est emparée de l’Amérique, en a fait une colonie israélienne. Les 8,2 millions de dollars que le contribuable américain paie chaque jour à son maître juif n’est pas une subvention. C’est un tribut. C’est une taxe ou un impôt imposé à un peuple vaincu par ses conquérants.

Lisez ces mots de mépris tenus à l’égard de son propre président dans cet extraordinaire récit de l’humiliation d’Obama aux mains de Netanyahou, son vainqueur juif :

Netanyahu s’en est pris à Obama comme à la cinquième roue du carosse ; il a joué avec lui comme sur un violon ; il l’a martelé comme on martèle un grand tambour de cuivre. Le premier ministre d’Israël a dominé de la tête et des épaules son adversaire arrogant et professoral. Le premier ministre s’est servi de notre gars comme d’une serpillière….Bibi l’a réduit en lambeaux …montrant par là au monde entier que le premier ministre d’Israël a nettement plus de soutien à la fois de la part de la Chambre et de la part du Sénat que le président des Etats-Unis. [Souligné par moi]

Je crois que ça veut tout dire. Pauvre Obama ! Il a été symboliquement châtré, enfoncé jusqu’au cou dans des excréments. Ces 29 ovations reçues par Netanyahou au Congrès étaient comme un crachat au visage du président.

D’après l’expert politique Philip Giraldi, c’était « la première fois dans l’histoire qu’un petit pays de moins de huit millions de citoyens subjuguait un pays infiniment plus grand, d’une population de plus de 310 millions d’habitants. »

La sionisation de l’Amérique est complète, avec l’AIPAC qui nomme le gouvernement et 60 millions de chrétiens-sionistes prêts à mourir pour leurs nouveaux maîtres à Jérusalem.

L’Amérique est aujourd’hui l’esclave d’Israël.

 

QUI  DIRIGE  L’AMÉRIQUE ?

« Je n’ai jamais vu un président s’opposer à eux. Ils obtiennent toujours ce qu’ils veulent. Si le peuple américain comprenait quelle prise ces gens ont sur notre gouvernement, il se lèverait en armes. » (Amiral Thomas Moorer, ancien président du comité des chefs d’état-major des armées américaines, 1983)

A ce stade, je ressens la nécessité de présenter mes excuses pour cette image du rabbin en train de remuer le doigt qui se trouve à la fin de la première partie de cet essai ainsi que pour les propos incendiaires qu’il est censé avoir prononcés à propos du désir qu’ont les juifs de dominer le monde. J’entends mes critiques m’interpeller : « Espèce d’idiote, qu’est-ce que tu as à débiter toutes ces sornettes Protocoliennes ? Ne sais-tu donc pas que les Protocoles des Sages de Sion sont un faux antisémite ? »

Oui, dois-je avouer avec un soupir, j’ai souvent entendu prononcer le mot de « faux » comme argument pour ne pas lire ce brillant traité de politique, qui se place tout de suite après la République de Platon sur le plan de la profondeur.

Mais ce que je suis en train de dire n’a rien à voir avec les Protocoles.

Je ne suis pas une théoricienne du complot. Je suis une historienne qui s’intéresse uniquement aux faits. Seule la vérité m’anime le cœur.

Jetons un autre coup d’œil rapide sur le sionisme.

Dans un essai récent intitulé Why Palestine is Important [Pourquoi la Palestine est importante], Israel Shamir présente une image qui met en perspective toute cette absurdité Protocolienne :

La Palestine est importante parce qu’elle est considérée comme une pièce maîtresse de l’Empire, l’un des points clés indispensables pour contrôler le monde. Telle était la conviction des bâtisseurs de l’Empire britannique au XIXe siècle, style Rhodes… Au départ il s’agissait d’une théorie secrète développée par H.J. Mackinder, puis elle est devenue une force conductrice derrière la théorie du mondialisme … Mackinder avait projeté de soumettre la planète entière au joug de l’Empire … Napoléon [déjà] avait caressé l’idée d’implanter les juifs en Palestine pour servir d’infanterie à la France, mais les juifs n’avaient pas marché. Les Britanniques ont réussi là où les Français avaient échoué.

En d’autres termes, selon un point de vue exprimé récemment par Shamir, le sionisme a été d’inspiration britannique et constitue un outil dans l’arsenal de la Pax Britannica. C’était le moyen pour les Brits de conquérir le monde. Ils auraient flanqué les juifs indésirables en Palestine pour leur servir de mandataires. Israël, en effet, devait être une colonie britannique. Et Lord Balfour, lorsqu’il rédigea la fameuse Déclaration Balfour en 1917, avait une lueur qui brillait dans son petit œil perçant. Il se préoccupait plus de faire progresser les desseins de l’Empire britannique que d’être agréable aux juifs.

Si tout cela est vrai – et c’est ce que je crois – on voit ce qui s’est passé ensuite. En 1948, l’Empire britannique s’était effondré, il était en ruines. Il n’était plus en situation de se servir d’Israël comme marionnette. Mais une autre nation, une nation montante et principale bénéficiaire de la Deuxième Guerre mondiale, elle, le pouvait. C’était l’Amérique. Pourtant, déjà dès 1948, l’Amérique était largement contrôlée par ses juifs. Leur influence, qui allait se développer à pas de géant après 1967, était déjà énorme en 1948.

Ce sont les juifs qui ont forcé la main du président Truman et ont obtenu de lui qu’il donne son plein appui à leur Etat naissant. Ce sont les juifs encore qui, par l’intermédiaire du vindicatif Morgenthau, devaient, comme je l’ai indiqué dans la première partie de cet essai, faire de la vie des Allemands vaincus un enfer au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale. Les juifs étaient toujours à l’arrière-plan, semble-t-il, ceux qui sont tapis dans l’ombre du cours de l’histoire.

Cette colonie que les Brits n’avaient pas réussi à acquérir au Moyen-Orient, Israël, ce fut l’Amérique qui en hérita. Alors, après tout, Chomsky avait raison. En tout cas, pour commencer, Israël devait être le porte-avions de l’Amérique au Moyen-Orient. Les Américains allaient s’en servir comme gigantesque base militaire pour piller le pétrole arabe. Ils n’allaient pas non plus avoir de problèmes avec les rêves de Ben Gourion d’un Grand Israël s’étendant du Nil à l’Euphrate. Après tout, pourquoi ne pas donner aux juifs ce qu’ils voulaient ?

Le Grand Israël devait simplement être une extension de l’Amérique : son 51e Etat.

Les choses ne se passèrent pas comme prévu. Les plans les mieux conçus des souris et des hommes, dit-on, avortent bien souvent. Les rôles ont été inversés aux dépens des Américains naïfs. Les juifs étaient beaucoup plus fûtés que leurs maîtres WASP [blancs, anglo-saxons et protestants] ne pourraient jamais l’être. Grâce à trois mille ans d’expérience amère ils avaient acquis l’art de la duplicité et de la ruse. Leur patrimoine génétique, c’était l’astuce. Ils étaient les Survivants Suprêmes.

Il faut faire aux juifs cette justice. Les opprimés d’hier décidèrent de devenir les oppresseurs. Les anciennes victimes décidèrent de prendre le rôle des prédateurs. La marionnette décida de devenir le marionnettiste.

En bref, les juifs s’emparèrent de l’Amérique et en firent une colonie juive. C’est aussi simple que ça. Pour leurs hôtes américains c’était l’arroseur arrosé.

Mais pourquoi s’inquiéter ? Les juifs américains sont des Américains, n’est-ce pas ? S’ils sont assez futés pour s’emparer de l’Amérique, comme ils l’ont manifestement fait, pourquoi ne procéderaient-ils pas à l’étape logique suivante et ne s’empareraient-ils pas du monde – oui, dominer le monde au travers de l’Amérique ? Personne ne niera que tel est le but de l’Amérique : la domination complète. Par conséquent, si les juifs contrôlent l’Amérique et que l’Amérique contrôle le monde, ne s’ensuit-il pas en toute logique que les juifs contrôlent le monde ? Cette logique est imparable.

Vue à travers ce prisme historique, la domination du monde par les juifs prend une perspective différente. Ici, pas de « théories du complot ». Pas de juifs au nez crochu en train de saisir le globe entre leurs serres cruelles. Pas d’Illuminati essayant de sodomiser vos enfants et de boire leur sang. Juste de la logique. Juste de l’histoire. Juste l’Amérique qui lutte pour la domination intégrale du monde avec des juifs en tête du peloton.

On pourrait dire que les rêves les plus fous des Protocoles se sont enfin réalisés, mais pas comme l’avaient prévu leurs concepteurs à l’origine.

Que nous réserve l’avenir… ?

Qu’on me permette de présenter ici le témoignage d’Eustace Mullins, ne serait-ce que parce qu’il illustre de façon si frappante les terreurs endurées par des millions de chrétiens russes dans la Russie bolchevique lorsque cette dernière était sous hégémonie juive. Faudrait-il voir là le sort réservé aux chrétiens américains dans un proche avenir ?

Il y a dans l’histoire trop de massacres  bien documentés dans lesquels les juifs ont torturé et massacré leurs victimes avec la plus grand joie, en jubilant devant des pratiques barbares comme celles consistant à arracher les cœurs des femmes et des enfants et se barbouiller le visage de leur sang.

L’orgie de meurtres, de tortures et de pillages qui succédèrent au triomphe des juifs en Russie [après la Révolution de 1917] n’a pas son égale dans l’histoire du monde. Les juifs furent libres de s’adonner à leurs plus ardentes fantaisies de meurtre de masse de victimes sans défense.

Des chrétiens furent tirés de leur lit, torturés et tués. Certains furent carrément découpés en morceaux, petit à petit, tandis que d’autres étaient marqués au fer rouge, les yeux arrachés pour leur infliger une douleur insupportable.

D’autres furent mis dans des boîtes… et des rats affamés étaient alors disposés dans ces boîtes pour ronger leurs corps. D’autres furent cloués aux plafonds par les doigts ou les pieds et laissés suspendus jusqu’à ce qu’ils meurent d’épuisement.

D’autres furent enchaînés au sol et on leur déversait du plomb bouillant dans la bouche. Beaucoup furent attachés à des chevaux et traînés à travers les rues de la ville, tandis que la foule leur lançait des pierres et les tuait à coups de pied.

Des mères furent amenées en place publique et on leur arrachait des bras leur bébé … le bébé [était] lancé en l’air tandis qu’un autre membre de la foule se précipitait pour le recevoir sur la pointe de sa baïonnette.

Des chrétiennes enceintes furent enchaînées à des arbres et leur bébé arraché de leur ventre. (Voyez ici).

« On ne devrait jamais oublier ce qui s’est passé en URSS à une époque où les juifs constituaient une élite hostile », note tristement le professeur Kevin MacDonald. « La détestation et le mépris du peuple et de la culture traditionnels russes furent des facteurs majeurs de cette participation acharnée des juifs au plus grand crime du XXe siècle. »

Le Pr MacDonald se réfère au meurtre systématique de plus de 50 millions de Russes sous Lénine et Staline : une période de meurtres massifs qui s’étend sur 36 années (1917-1953).

La nouvelle élite américaine – comme je l’ai fait remarquer dans la première partie de cet article, « L’Amérique colonie israélienne » – est une élite juive. Exactement comme l’était l’élite de la Russie bolchevique et de l’URSS de Staline. Et c’est essentiellement une élite hostile qui « déteste les nations qu’elle dirige. »

Il nous faut donc prendre garde.

Parce que ce qui est arrivé à des millions de Russes dans la première moitié du XXe siècle – un génocide systématique – pourrait bien arriver à des millions d’Américains dans un proche avenir.

« Il est fort possible », médite Kevin MacDonald, « que nous entrions dans une dystopie raciale d’une cruauté inimaginable. »

Un jeu appelé Survivance

La réussite extraordinaire des juifs, qui ne représentent que 2,5 % de la population américaine, peut s’attribuer à la méticulosité de leur organisation, de leur coordination et de leur réseau de contacts. Cette cohésion bénéfique dérive d’une caractéristique de l’évolution des juifs : un ethnocentrisme exceptionnellement fort qui leur a permis d’infiltrer pratiquement tous les organismes qui auraient pu les menacer en tant que groupe. En Amérique, des juifs très doués dont la loyauté première va à Israël ont réussi à s’introduire dans des positions stratégiques clés, dont le Département du Trésor et le Département d’Etat, le Pentagone, le Conseil national de sécurité et la Maison-Blanche.

Au cours des 24 derniers mois, pas un des décideurs politiques [nous dit James Petras] n’a émis la moindre critique à propos des crimes les plus odieux d’Israël, depuis les violentes attaques contre Gaza jusqu’au massacre de la flotille humanitaire et le développement de nouvelles implantations à Jérusalem et en Cisjordanie… Un grand nombre des principaux décideurs sionistes ont accédé au pouvoir grâce à une stratégie délibérée d’infiltration du gouvernement afin de façonner une politique favorisant les intérêts d’Israël d’abord et avant les intérêts de la population américaine.

Si les goyim ont abandonné aux juifs le jeu de la vie et leurs libertés chèrement gagnées, c’est d’abord parce qu’ils ne savaient tout simplement pas qu’ils jouaient à un jeu. Un jeu avec des risques considérables.

Un jeu qui s’appelle la Survivance.

Conclusion

Le monde qui nous attend, si nos Nouveaux Maîtres l’emportent, sera une sombre dystopie. Ce sera un désert spirituel dans lequel une élite sans scrupules se moquera éperdument des masses grouillantes. Ce sera un mode cruel d’exploitation, d’obscurité morale et d’une brutalité indicible.

« La mort résout tous les problèmes », raillait cyniquement Staline. « Pas d’homme, pas de problème. » Quand l’extermination massive devient le remède miracle, on peut s’attendre à des moments passionnants.

Dans une étude d’Otto Friedrich très bien accueillie par la critique, The Kingdom of Auschwitz [Le Royaume d’Auschwitz], un survivant de camp de concentration dit :

L’existence en camp de concentration nous a appris que le monde entier est réellement comme un camp de concentration. Le monde n’est dirigé ni par la justice ni par la moralité. Le crime n’est pas puni, la vertu pas récompensée. Le monde est dirigé par le pouvoir. Nous posons les fondations d’une nouvelle civilisation, une civilisation monstrueuse.

Victime innocente de cette « nouvelle civilisation monstrueuse », un enfant palestinien, le bras arraché par un colon israélien pour avoir jeté une pierre. (Voyez ici)

Alors voilà où nous en sommes : dans l’œil du cyclone.

Naguère une démocratie, l’Amérique est aujourd’hui un pays crypto-dictatorial dirigé par une élite financière et cosmopolite. « En Amérique il n’y a pas de liberté, pas de démocratie et pas de responsabilité devant le peuple, c’est un Etat dictatorial », conclut tristement Paul Craig Roberts dans l’un de ses récents essais.

Réalisant les rêves les plus fous évoqués dans les Protocoles, les juifs sont là à contempler les champs de la mort du monde qu’ils ont conquis. L’Irak et l’Afghanistan sont en ruines, grâce à leurs machinations. L’Iran est dans la ligne de mire, dans l’attente de son sort fatal. Et pendant ce temps-là, en Amérique, alors que les avions rapportent les sacs mortuaires de l’étranger et que le sinistre cirque du pain et des jeux se déroule implacablement, on n’a plus beaucoup de raisons de vivre, hormis le sexe et la mort.

Les bourreaux volontaires de Staline, les juifs, sont aujourd’hui l’élite dirigeante de l’Amérique. Tout comme dans l’Allemagne de Weimar, ce sont les juifs qui gagnent le plus d’argent et qui contribuent à créer une culture de néo-paganisme et de nihilisme, de décadence et de désespoir. Rien n’a changé, sauf le pays.

La Russie, l’Allemagne, l’Amérique – toutes se sont écroulées, l’une après l’autre, comme des quilles.

Tel-Aviv-sur-Seine

COMMENT APRES UN CONFLIT OU ISRAEL ENVAHIT LA PALESTINE DEPUIS DES ANNEES AVEC DES MILLIERS DE MORTS DU COTE DE LA PALESTINE..

COMMENT UN BEBE PALESTINIEN BRULE VIF CETTE SEMAINE  PAR CE CONFLIT

( https://www.lamontagne.fr/france-monde/actualites/a-la-une/international/2015/07/31/cisjordanie-un-bebe-palestinien-brule-vif-dans-une-attaque-de-colons-israeliens_11537674.html )

ET

LA MAIRIE DE PARIS DECIDE DE FAIRE AU LIEU DE PARIS PLAGE... FAIRE UN TEL AVIV SUR SEINE ????

PROVOCATION ??? IMPOSER ?? QUE CE CACHE DERRIERE TOUT CELA ??

Blanchiment par la Mairie de Paris de l'apartheid grâce à Tel-Aviv-sur-Seine
Publié par wikistrike.com sur 8 Août 2015, 10:17am

Paris-Plage est-il devenu un outil obscur de propagande ?

Un an après l'opération « bordure de protection » sur Gaza où Israël a assassiné plus de 2200 personnes dont 500 enfants selon les Nations Unies, moins d'un mois après le vote par le parlement israélien autorisant l'alimentation forcée des prisonniers, une semaine après les dernières violences coloniales qui viennent de brûler  vifs tous les membres de la famille Dawabshah à Douma  en Cisjordanie tuant  le petit Ali Dawabshah de 18  mois, Madame Hidalgo, la Maire de Paris, vous propose donc et logiquement de faire la fête en important Tel-Aviv en bord de Seine.

Pour "exploser" votre joli corps au solei, allez à Gaza-Plage, Parc de la poudrerie.

Avant de vous y rendre, n'oubliez pas que Tel Aviv est construite sur les ruines de 7 villages palestiniens. 

WikiStrike vous souhaite tout de même un agréable séjour  à Tel-Aviv-sur-Seine le 13 août prochain.

NB:  Il y a 1 an, Hidalgo expliquait qu'il ne fallait pas "importer le conflit israélo-palestinien"

 

-----------------------

 

EN ISRAEL, UN CRIMINEL ISRAELIEN QUI A BRULE UN BEBE PALESTINIEN  JUSQU'A SA MORT ECOPE A 6 MOIS DE PRISON,  NORMAL  6 MOIS POUR UN CRIME ????

 

UN SKETCH QUI RESUME LA SITUATION...

PROPAGANDE ... PUB.. EN ISRAEL...

LA VERITE EN VIDEO

Israël fait une propagande et les palestiniens démontre le contraire.à voir et partager sans modération.

Posted by Omar Kathiri on lundi 24 août 2015