Un juif révisionniste démonte la théorie des chambres à gaz homicides d’Auschwitz

Ce documentaire de David Cole devrait vous faire tomber à la renverse par sa limpidité et son exactitude. Démontant méthodiquement la thèse sacralisée de la chambre à gaz homicide d’Auschwitz lors de sa visite en 1992, David Cole met en avant de très sérieuses analyses et réflexions, que vous croyiez ou pas à l’extermination des juifs par gazage au zyklon B.

Devant les questions précises et pertinentes de David Cole, une rencontre avec le « grand professeur » Piper Franciszek, l’historien du musée d’Auschwitz, est convenue. Cette entrevue se révéla un véritable calvaire pour l’historien imprécis, qui devant les affirmations fines et argumentées du révisionniste, s’embrouille dans ses explications, témoignant ainsi de son malaise devant les faussetés avancées comme théorie incontestable et avérée.

Notez que ce professeur admet qu’il y a beaucoup plus de traces de zyklon B dans les baraquements traités pour assainir ces bâtiments que dans les chambres à gaz. Son explication repose sur le fait que le traitement pour assainir les baraquements durait 24 heures alors que le zyklon B était utilisé pendant 20 minutes une fois par jour pour les gazages d’êtres humains, ce qui est en totale opposition avec les dire des « témoins » et de Rudolf Höss (chef du camp d’Auschwitz de mai 1940 à fin 1943) qui affirmaient que les chambres à gaz fonctionnaient toute la journée.

Sachez également que suite à des pressions phénoménales (une agression physique de la LDJ et de menaces de mort) à l’encontre de David Cole et de sa famille, il publiera une répudiation forcée de son travail.

Un débat s’impose malgré la loi Fabius-Gayssot, qui nous interdit d’étudier cette période critique et d’ainsi pouvoir apporter des exactitudes techniques et scientifiques aux faits. Un homme comme Robert Faurisson a consacré toute sa vie à dénoncer le mensonge sacralisé sur lequel repose notre société actuelle et il est temps que la Dissidence Résistance lui offre le débat qu’il attend depuis 40 ans face à ses contradicteurs…