Le Pr ANDRE GERNEZ à proposé par exemple plusieurs façon de prévenir le cancer... il a toujours été mis à l'écart... et prié de se taire... pourtant plusieurs grands prix et récompenses.... et considéré comme l'un des plus grands Professeurs dans le domaine du cancer.
www.prevention-cancer.net site sur les travaux du Pr GERNEZ ANDRE
https://www.alterinfo.net/La-verite-tres-indesirable-sur-la-chimio_a92233.html (a lire - extrait ci dessous )
Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.
Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[[1]]url:#_ftn1 . » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)
Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988). à son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).
Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse » (Leçons de cancérologie pratique).
Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».
Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien ! Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998) Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l'usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n'a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990, vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »
Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »
Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que le Lancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[[2]]url:#_ftn2 : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […] Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology)[[3]]url:#_ftn3 a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.
la curcumine - ( curcuma + poivre ) le meilleur anti cancer :
https://www.santenatureinnovation.com/epice-anticancer-sante-naturelle/ page complète sur la curcumine ( curcuma )
extrait :
" La curcumine est, parmi tous les nutriments, celui dont les effets sur le cancer sont les mieux documentés dans la littérature scientifique.
La curcumine est un dérivé du curcuma, le pigment qui donne au curry sa couleur jaune-orangé.
C’est un composé qui a été l’objet de nombreuses études, et dont les effets sur la santé sont multiples. La conséquence est que le curcuma connaît un succès croissant en tant que complément alimentaire. 100 grammes de curcuma contiennent 3 à 5 grammes de curcumine.
Comment la curcumine combat-elle le cancer ?
En Inde, où le curcuma est très répandu dans la cuisine, la prévalence, c’est-à-dire la fréquence, de quatre cancers très répandus chez nous – cancer du côlon, du sein, de la prostate, du poumon – est dix fois plus faible. En fait, le cancer de la prostate, qui est le plus souvent diagnostiqué chez les hommes européens, est rare en Inde, et ce phénomène est attribué, en partie, à la consommation de curcuma. Il apparaît que la curcumine agit contre le cancer de plusieurs façons :
- Inhibe la prolifération des cellules des tumeurs ;
- Aide votre corps à détruire les cellules mutantes, afin de les empêcher de se répandre dans votre corps ;
- Inhibe la transformation de cellules normales en cellules de tumeur ;
- Diminue l’inflammation ;
- Empêche le développement des vaisseaux sanguins nourrissant la tumeur ;
- Inhibe la synthèse d’une protéine considérée comme essentielle pour la formation des tumeurs. "
AIL et OIGNON - Tres bons resultats anti cancer :
https://french.irib.ir/info/sant%C3%A9/item/223440-l%E2%80%99ail-et-l%E2%80%99oignon-font-fuir-le-cancer
L’ail et l’oignon font fuir le cancer
IRIB-L’ail est une panacée reconnue depuis l’antiquité. Sa renommée a défié les temps. Elle est à la fois curative et préventive.
La culture de l’ail et de l’oignon provient probablement de l’Asie et du Moyen-Orient il y a 5000 ans et s’est ensuite répandue vers la Méditerranée, l’ Égypte. En Orient il était déjà en usage courant 2000 ans avant J-C.
Les propriétés anticancéreuses de l’ail, de l’oignon et de leurs cousins comme l’échalote, le poireau, la ciboulette.
C’est dans le domaine de la prévention du cancer que l’ail semble remporter ses plus grandes victoires. Selon les Dr Béliveau et Gingras dans leur livre “Les Aliments contre le Cancer”. Ils écrivent:
” Les propriétés anticancéreuses des légumes de la famille de l’ail semblent principalement reliées à leur contenu en composés sulfureux. Néanmoins, dans le cas de l’oignon notamment, il ne faut certainement négliger l’apport important en certains polyphénols comme la quercétine, une molécule pouvant empêcher la croissance d’un très grand nombre de cellules cancéreuses cultivées en laboratoire et qui interfère avec le développement de cancers chez les animaux.
Quoi qu’il en soit, dans l’état actuel des connaissances, il est de plus en plus certain que les composés de l’ail et de l’oignon peuvent agir comme de puissants inhibiteurs du développement du cancer en ciblant au moins deux processus impliqués dans le développement des tumeurs. Même si d’autres études sont nécessaires pour identifier avec encore plus de précision les moyens par lesquels les molécules dérivées de l’ail et de l’oignon parviennent à exercer ces différentes actions, il ne fait toutefois aucun doute que l’ail et les autres végétaux de cette famille méritent une place importante dans une stratégie de prévention du cancer par l’alimentation.
L’ail semble être particulièrement efficace pour protéger le développement des cancers causés par les nitrosamines, une classe de composés chimiques possédant un très fort potentiel cancérigène. Ces composés chimiques sont formés par la flore intestinale à partir des nitrites, une classe d’agents alimentaires très utilisés comme préservatifs, en particulier dans les marinades et dans les viandes transformées comme les saucissons, le jambon et le bacon. Cet effet protecteur de l’ail face aux nitrosamines semble être très puissant, car, chez les rats de laboratoire, le DAS ( composé dérivé de l’ail) est même capable de neutraliser le développement du cancer du poumon provoqué par le NNK, une nitrosamine extrêmement toxique formée par la transformation de la nicotine lors de la combustion du tabac. L’ail semble avoir un meilleur effet protecteur que l’oignon bien que, dans ce dernier cas, il ait été suggéré que la consommation d’oignons était elle aussi associée à un risque moindre de développer des cancers de l’estomac.
En résumé, l’ail et ses cousins freinent le développement du cancer, tant par leur action protectrice envers les dommages causés par les substances cancérigènes que par leur capacité à empêcher les cellules cancéreuses de croître. L’ail fraichement écrasé est de loin la meilleure source de composés anticancéreux et doit être préféré aux suppléments.”
L’ail et ses propriétés cardiovasculaires
Les chercheurs ont trouvé que l’ail contient de l’ajoène qui, tout comme l’aspirine, empêche la coagulation du sang et, de ce fait, apporte une meilleure fluidité et protège le système contre les risques cardiovasculaires. Des études cliniques effectuées dans 15 pays ont démontré que l’ail pourrait freiner l’obstruction artérielle et même faire régresser ce processus selon le cardiologue Arun Bordia, du Tagore Medical College en Inde.
L’American Heart Association (AHA) publie des recommandations alimentaires permettant de prévenir le risque de maladies cardiovasculaires. En se basant sur de nombreux résultats de recherches, l’AHA propose une liste d’aliments spécifiques présentant un certain effet cardioprotecteur. L’ail fait partie de ces aliments et sa consommation s’ajoute donc aux recommandations de base de l’AHA dans une optique de prévention des maladies cardiovasculaires.
L’oignon et ses antioxydants.
Les antioxydants sont des composés qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ces derniers sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans le développement des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement. Les principales classes d’antioxydants de l’oignon sont les anthocyanines et les flavonols plus spécifiquement la quercétine.
Les oignons constituent une source importante de quercétine, puissant antioxydant.
Les flanonols diminuent le risque de maladies cardiaques. Les oignons en sont l’une des sources les plus importantes. Il est maintenant bien démontré que les flavonoïdes, dont la quercétine, ont une action protectrice contre l’oxydation du cholestérol-LDL (« mauvais » cholestérol). Ainsi, une consommation élevée de flavonols et de flavones issus de l’alimentation est associée à un plus faible risque de maladies coronariennes.
Cancer : Les oignons réduiraient le risque de développer un cancer de l’estomac.
Pour un effet optimal des bienfaits des antioxydants, il faut savoir que les plus grandes concentrations de quercétine se trouvent dans les oignons rouges et les oignons jaunes ; les oignons blancs n’en contiennent pas. Les anthocyanines donnent la couleur rouge à certaines variétés d’oignon, et les flavonols colorent les oignons jaunes. Les variétés d’oignons rouges ont en général un contenu en antioxydantset une activité antioxydante supérieure aux variétés d’oignons de couleur pâle.
Une étude effectuée à l’Université Cornell dans l’État de New York indique que les oignons de type Western Yellow, New York Bold et Northern Red possèdent une activité antioxydante jusqu’à huit fois supérieures à celle d’autres variétés.
Lise Jacques
QUELQUES OUVRAGES A LIRE ET COMPRENDRE CE BUZINESS DE MILLIARD D'EUROS PAR AN...
OU L'ARGENT EST LE MAITRE MOT...
Les chances sont que vous n’ayez probablement jamais entendu parler de la vitamine B17. Puisque la vitamine B17 a été interdite par la FDA.
Un des plus grands types concentrés de vitamine B17 se trouve dans les noyaux d’abricot. Un fruit dont nous ne donnons pas assez de crédit. La graine à proprement parler se trouve dans le noyau dur de l’abricot. L’agent anti-cancéreux contenu dans la vitamine B17 Laetrile est connu sous le nom d’amygdaline.
Pourquoi la B17 n’est pas prescrite par les médecins d’aujourd’hui comme traitement? Si elle est si utile pour éliminer de nombreux cancers? G. Edward Griffin répond: « Le moyen de contrôler le cancer est connu, et il vient de la nature, mais il n’est pas largement accessible au public, car il ne peut pas être breveté, et, par conséquent, n’est pas commercialement attrayant pour l’industrie pharmaceutique. »
La vitamine B17 est composée de cyanure d’hydrogène et de glucose qui est ce qui lui confère ses propriétés anti-cancer. Le benzaldéhyde du glucose et le cyanure travaillent ensemble comme un poison qui cible les cellules cancéreuses. Beaucoup de professionnels de la santé affirment que la B17 est toxique, mais cela est simplement un mythe.
Donc voici où le camouflage intervient
Même si cette vitamine n’a pas été approuvée comme traitement par la FDA, de nombreux médecins, dont un nommé John A. Richardson MD, a commencé à utiliser la vitamine « illégalement » dans le but de traiter les parents dans sa clinique médicale à San Francisco, et cela donnaient des résultats stupéfiants meilleurs que les traitements orthodoxes. Le succès de Richardson dans ces traitements est documenté dans Case Histories: The Richardson Cancer Clinic Experience par John A. Richardson MD et Patricia Irving Griffin, RN. La FDA a été virulente dans son attaque contre la Laetrile. La FDA voit la Laetrile comme une forme non approuvée de traitement et qui est « illégale » d’administrer pour un praticien, par conséquent l’achat de Laetrile n’est pas disponible aux États-Unis. Mais, d’autre part, vous pouvez toujours acheter de l’amygdaline sous forme de supplément. Il existe de nombreux rapports de personnes qui jurent qu’ils ont vaincu le cancer en utilisant la B17.
Sloan-Kettering a été indigné par le camouflage de la B17 par la FDA et l’AMA, et pendant cinq années, des études ont été menées par Sloan sur les avantages anti-cancer de la B17 pour laquelle il a été constaté que:
1. Elle a amélioré la santé générale des patients atteints de cancer.
2. Elle a agi à titre préventif du cancer.
3. Elle arrête la propagation du cancer chez la souris.
4. La laetrile a inhibé la croissance des tumeurs.
Entendre parler des essais cliniques de la B17 et apprendre comment elle combat les cellules cancéreuses est une chose, mais entendre des personnes qui ont combattu le cancer grâce à la vitamine B17 et qui ont gagné en est une autre. Vous pouvez consulter par exemple le témoignage de Sandy Rog qui a vaincu le cancer avec la vitamine B17.
Etre proactif dans notre lutte contre avoir le cancer
Si vous vous exercez très peu et vous engagez dans des choix nocifs pour le corps, alors le cancer est à vos trousses. Bien que dans certains cas peu importe combien vous vous exercez ou peu importe ce que vous faites le cancer vous trouve. Mais il n’y a aucune raison de ne pas être proactif tout au long de votre journée et de vous engager dans des choix sains pour votre corps.
Outre la B17 il y a aussi de nombreux autres aliments naturels qui aident à combattre le cancer tels que: Consommer du gel d’aloès, de l’herbe de blé, du sumac, des piments, de la bette à carde, des champignons alimentaires, du curcuma, des légumes et des fruits crus, le lin, du jus d’aloès, des graines de chia et des graines noires mieux connues comme Nigelle cultivée. Il n’est jamais trop tard pour commencer à manger sain et réduire les risques pour votre santé. Vous pouvez même commencer dès maintenant!
Sources:
treatments-for-cancer.com
www.ssqq.com
www.micheldogna.fr
buynongmoseeds.com